LitBawabaChez mon amie F. qui m’héberge pendant deux semaines, le bawab est une bawaba (je préfère écrire ça plutôt que « le portier est une portière »). C’est une petite vieille  au foulard  noué sur la nuque comme les paysannes de tous les pays. Son territoire est composé de deux rues joignant le Four Seasons à la Mère de Dieu, dans le quartier de Garden City. On y croise parfois un très beau cheval décoré d’un harnais de fête. Seul, à l’arrêt, une de ces bêtes qui vous consolent du tohu-bohu de la corniche toute proche et vous rappelle que la ville regorge de paysans déracinés, les Saïdis, comme on les appelle ici, avec ou sans leurs animaux. Lire le reste de cette entrée »

 

  Deux corps de métiers qu’il faut connaître si vous souhaitez vous établir au Caire. Les simsars ne sont pas des bawabs, mais certains bawabs peuvent faire office de simsars. Bawab, de bab, c’est le portier, le concierge, l’homme à tout faire attaché à un immeuble, chargé, en principe, de l’entretien des parties communes.

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