Lever 6 heures. Départ à 6h30 avec un jeune homme en gallabeya vert clair, conducteur d’une voiture déjà usée à force de servir de 4×4.

La route est déserte. On longe les grands lacs de Wadi Rayan sans s’arrêter. Mieux vaut marcher pendant qu’il fait encore frais. Quelques kilomètres plus loin, sur la droite, on bifurque sur une piste bien signalée avec une belle pancarte en bois indiquant Wadi El Hitan, la vallée des baleines. Lire le reste de cette entrée »

 Il y a sur la rue du Nil, en remontant vers le pont de l’Université, un bateau qui porte le doux nom de Casino des pigeons. Celui-là ne doit pas attirer beaucoup de français. Sauf peut-être ceux qui confondent pigeons et tourtereaux. Dans le Fayoum, il y a aussi de beaux pigeonniers de boue séchée, qui accueillent les volatiles avant qu’ils passent à la casserole. Et une sorte de motel qu’on pourrait rebaptiser « lodge des pigeons ». Lire le reste de cette entrée »