En rentrant du musée, je suis partie à la recherche du vieux nouveau Gournah de Hassan Fathy situé sur la rive gauche, quelque part à droite après le chemin de fer, soit à 3 km environ du village ancestral. J’aperçois la façade d’une belle mosquée précédée d’une place. Le village avait été construit en brique de terre crue, plus exactement d’un mélange de terre, d’eau et de paille qu’on appelle adobe, dont les qualités d’isolation sont trois à quatre fois supérieures à celles du béton. Des toits en voûte, destinés à repousser les radiations du soleil, viennent compléter le dispositif. Lire le reste de cette entrée »

La seule mosquée du Caire où les gardiens de chaussures, accroupis derrière le premier pilier, lacent autour de vos chevilles deux magnifiques produits de l’artisanat local, qui vous évitent de vous déchausser. Mais si vous tenez à marcher pieds nus, ils se feront un plaisir de garder vos souliers. Toutefois, opter pour le chausson de bure qui ralentit l’allure a un charme particulier. Obligé, pour une fois, de traîner des pieds. Le touriste pressé n’a pas sa place ici. Lire le reste de cette entrée »