Le désert impeccable des grands hôtels, leurs forêts de colonnes en marbre, leurs plantons gominés au sourire niais, leurs gardes de sécurité à l’entrée ouvrant votre sac en s’excusant, leur clim silencieuse et leur fond sonore de cascades et de fontaines artificielles, leurs galeries marchandes aux prix affichés en dollars, tout cela peut rassurer après un bain de foule et la traversée périlleuse des avenues en étoile autour de Talaat Harb. Lire le reste de cette entrée »

 

On a parfois des a priori stupides : le tour en felouque, à cinq minutes à pied de chez moi, me semblait réservé aux clients du Grand Hyatt et du Four Seasons, cibles favorites des rabatteurs. Et puis franchement, la navigation sur un fleuve servant d’égout à toute l’Egypte ne m’évoquait rien de très romantique. Lire le reste de cette entrée »